Réveil sous un ciel gris ce matin mais les crêpes du petit-déjeuner arrangent tout 😊. On se régale avant de partir, sous une bonne pluie cette fois, direction Gembloux. A nouveau, nous roulons principalement sur un RAVeL aujourd’hui, à la différence près que les deux garçons ne sortent pas de la charrette tellement il fait mauvais. Du coup, Vince doit tirer un (bon) poids en plus… Je papote avec Rosa à l’avant et on rigole beaucoup, et je relâche sans doute un peu mon attention… nos vélos avec leurs larges fontes arrière se touchent et s’accrochent et je me vois perdre l’équilibre et violemment heurter le sol. J’ai fort mal à tout mon côté gauche et ne bouge pas dans un premier temps, ce qui provoque un gros de stress à Vince qui me voit allongée au loin devant lui sans me relever. Finalement, tout doucement, je parviens à me relever et à tout mobiliser, heureusement je n’ai que des petites plaies au genou et au coude. Plus tard dans la journée, je sentirai aussi ma nuque qui a du bien se crisper au moment de la chute. Heureusement que je portais un casque car ma tête a bien heurté le sol. Après une tentative infructueuse (à 2 minutes près) de trouver un plat réconfortant comme des frites pour le dîner, nous mangeons sous un abri sur le parking du Carrefour et définissons cet endroit de pic-nic comme le moins chouette du voyage jusqu’à présent 😉. Mais qu’à cela ne tienne, on passe un chouette moment et on remonte sur nos vélos pour parcourir les derniers kilomètres jusque chez Maya et Jeremy et leur SUPERBE tiny house 😊. Nous nous occupons d’abord un peu dans le jardin, Maya n’ayant pas encore fini de travailler (ça a l’air vraiment costaud pour le moment). Nous redécouvrons sa tiny house, qui est une pure merveille auto-construite. Chaque objet a été chiné et s’accorde parfaitement avec l’ensemble, tout en bois et en petits détails originaux. Ce soir encore, les garçons s’endorment très facilement dans la tiny sans nous, ce qui nous permet de manger dehors à 4 sous l’abri. On passe une très chouette soirée avec Maya, Jerem étant parti en van grimper dans le sud de la France et ne tardons pas à aller nous coucher.
La nuit à 5 dans la tiny house fut intéressante, entre les garçons qui glissaient sous le fauteuil et Rosa qui dormait dans le petit couloir de la cuisine sous l’échelle de la mezzanine… et nous qui avons du faire plusieurs aller-retour pour Emile qui pleurait ou toussait. Mais au moins, nous avons dormi au sec et nous en sommes très reconnaissants (Maya étant quant à elle allée dormir dans le van de Jerem). Nous reprenons la route, toujours sur un RAVeL, pour rejoindre Mazy et la jolie tiny house auto-construite de Gaëlle et Thomas et leur petit bout de chou. Nous croisons de plus en plus d’éoliennes le long de notre chemin, parfois de fort près, et c’est assez impressionnant. Nos amis nous accueillent à bras ouverts et en pleine forme (impressionnant pour des jeunes parents d’un nouveau-né de 6 semaines, qui ont même eu le temps de cuisiner deux délicieuses quiches avec les légumes du jardin). Arthus fait le difficile pour manger ses légumes et nous fait une petite « crise » dont on se serait bien passés en compagnie de nos amis, mais c’est ça aussi, voyager avec des enfants 😉. Nous reprenons à contre-cœur la route car il nous reste encore pas mal de kilomètres pour aujourd’hui. Nous montons d’abord vers un magnifique petit village qui s’appelle Bossière et longeons des champs de patates et de betteraves à n’en plus finir. La vue est quand même belle et les chemins sont assez diversifiés. Nous faisons ensuite une halte à 15h à Leuze au projet « Etincelles de Sens ». Nancy-Claire nous accueille à bras ouverts dans son petit oasis et est animée d’une belle énergie qu’elle nous transmet sans compter. Il y a de tout dans son beau et grand jardin, un bus de Lijn aménagé, des animaux, des trempolines et jeux pour enfants, une kerterre en construction, des enfants et des ami.e.s. Nous passons tous un très bon moment là-bas. Au moment de nous remettre en route, nous remarquons que le pneu arrière d’Arthus est tout à fait dégonflé. On le répare et on repart. Un peu plus loin, le pneu se dégonfle à nouveau et on le remplace une seconde fois. On doit donc trouver une solution pour transporter le vélo d’Arthus car nous n’avons plus rien pour le réparer, et on choisit l’option de la charrette. Emile et Arthus sont donc assis devant ensemble sur le pino, mais je trouve qu’ils n’ont pas beaucoup de place. Emile se coince alors le pied avec la pédale de devant et se fait vraiment mal. Petit moment de tension alors, car Vince veut terminer les deux kilomètres avec les deux garçons sur le pino alors que je refuse de les laisser à deux devant après le petit accident qu’il y a eu et l’état de fatigue de tout le monde. Je parviens avec l’aide de Rosa à accrocher le vélo d’Arthus sur mon porte-bagage au-dessus de mon boudin, et nous atteignons enfin Noville-les-Bois. A nouveau, on est super bien accueillis par Jérôme et Fabienne. Les enfants eux n’ont d’yeux que pour les playmobils qui sont dans la salle de jeux, et qu’ils ne quitteront pas de toute la soirée 😊. Nous passons une merveilleuse soirée à manger délicieusement et à discuter des projets que nous avons déjà visités, de la transition et de la vie en général. Jérôme et Fabienne sont super sympas, à l’écoute, enthousiastes et charmants, c’est un vrai bonheur d’être là 😊. On termine le souper par une succulente tarte aux groseilles macro du jardin… un régal ! C’est fou comme tout ce qui est fait avec les légumes et fruits du jardin a une saveur toute particulière. Vers minuit, Vince termine courageusement de réparer les chambres à air du vélo d’Arthus (dans lesquelles il y avait en fait un second trou car l’aiguille d’aubépine était restée coincée dans le pneu).
Ce matin, nous partons visiter le projet « Les jardins d’OO » (www.ooexperience.be) à Noville-les-Bois avec Fabienne. C’est un projet de maraîchage qui a démarré avec un cheval de trait et un passionné, Xavier. Le terrain n’était à la base pas très étendu (30 ares) et s’est ensuite agrandi grâce à la création d’une coopérative et de l’adhésion au projet par plus de monde. Son projet a remplacé un champ d’agriculture conventionnelle et est magnifique… Nous visitons le lieu avec Xavier, qui nous fait découvrir et goûter tous ses magnifiques légumes. Les projets que Xavier a pour le futur sont terriblement enthousiasmants aussi (faire un grand verger et y mettre des animaux, créer un espace de démocratie participative pour les enfants,…). Des lieux inspirants et charmants comme on les aime 😊. Nous continuons ensuite notre route pour aller découvrir un peu plus loin l’éolienne citoyenne « Champs d’Energie », portée entre autres par Jérôme et Fabienne. Le processus juridique et la mise en place effective d’une éolienne citoyenne est un travail de (très) longue haleine, qui leur a causé pas mal de tracas et demandé énormément d’investissements en temps, en compétences (et en argent). Assez incroyable de se dire que maintenant, ils ont leur propre éolienne qui tourne 😉. Nous prenons quelques photos, Arthus et Emile sont très impressionnés par la hauteur du mat (90 mètres quand même !) et n’arrêtent pas de s’exclamer « waaaaaawh ». A nouveau sur la route, nous nous arrêtons pour le dîner aux « Jardins d’Arthey » (www.jardinsdarthey.be). Nous passons au marché dans la grange pour acheter quelques bons produits d’ici mais ne rencontrons personne du projet pour explorer un peu plus les lieux. Dommage… Finalement, nous arrivons à Suarlée chez nos amis Camille et Damien, et leur petit trésor, qui vivent dans une superbe yourte. Ils nous expliquent l’avoir construite eux-mêmes en France, près de la Rochelle, pendant un mois avec l’aide d’une asbl la Frênaie qui accompagne à l’auto-construction de yourtes (www.lafrenaie.org). Nous dégustons un succulent barbecue yourte sous une belle lumière du soir en compagnie de Maya qui nous a rejoint pour le weekend. Arthus n’a d’yeux que pour leur petit garçon Yohan de 5 mois, et demande sans cesse s’il ne peut pas poursuivre le voyage avec nous 😉. Il y en a un qui est prêt pour un petit frère ou une petite sœur en tous les cas 😉.
Samedi 11 juillet ou la journée des habitats groupés. Nous avons une petite journée aujourd’hui, qui est rythmée par la visite de deux habitats groupés à côté de Namur. La route jusqu’à Floreffe n’est pas la plus sympathique puisque nous sommes sur la piste cyclable à côté de la nationale. Après un petit stop au carrefour du coin, nous montons jusqu’à l’abbaye de Floreffe que nous n’avions encore jamais visitée (à part Rosa lors du festival Esperanza). La vue est magnifique et l’enceinte aussi. Et nous sommes tout seuls. Wawh 😊. Nous reprenons ensuite la route en enchaînant quelques solides montées et faisons la montée avec le plus grand dénivelé depuis le début du voyage pour rejoindre le village de Buzet. Mais quelle vue une fois là-haut. C’est vrai que par rapport aux paysages de la Hesbaye, les belles collines et courbes par ici sont tellement jolies. Nous arrivons alors au premier habitat groupé du jour, celui du Buzet, où nous sommes accueillis par Nils et Natacha. A nouveau, on est complètement sous le charme des lieux (on a l’impression qu’on dit ça à chaque fois 😉). Les neuf unités sont superbes, dans un mélange de bois et de terre/paille (avec de la paille pour l’isolation, de l’argile pour la finition et un bardage en bois ou de la chaux pour l’extérieur). Le tout autour d’une petite place centrale, en belles pierres et plantes et fleurs de toutes les couleurs. Les espaces extérieurs communs sont incroyablement grands et beaux, avec une petite buvette en bois, une piscine naturelle, des potagers et un poulailler, un grand verger, un terrain de foot et d’autres espaces plus sauvages. Arthus et Emile, qui sont fan de l’eau depuis le voyage, ne demandent qu’à plonger dans la piscine naturelle, et c’est moi qui ai la chance de les y accompagner 😉. La température extérieure n’est pourtant pas très élevée, et l’eau l’est encore moins. C’est surtout que le sol est très glissant et que je suis incapable de lâcher le bord sans glisser, ce qui rend la chose compliquée pour avoir Emile dans les bras. Nous reprenons ensuite la route vers Malonne. Le chemin est censé être très court mais nous nous trompons encore une fois en n’ayant pas encodé l’adresse exacte dans le GPS. Heureusement, Maya et Rosa sont adorables et remontent tout avec le sourire 😊. En début de soirée, nous arrivons alors à l’habitat groupé du Broctia, second petit coin de paradis de la journée. Ici, ce sont cinq familles qui vivent ensemble dans une superbe construction et un jardin magnifique et sauvage (et un poulailler sur pilotis incroyable). Marie et Thomas nous accueillent chaleureusement, et les garçons s’amusent très rapidement avec leurs nouveaux copains. Quel rêve, ces habitas groupés et tout l’espace de jeux et de liberté qu’ils offrent aux enfants, ainsi que toutes les discussions et échanges qu’ils permettent entre adultes. Vince et moi sommes de plus en plus convaincus que c’est vers ce type d’habitat que nous voulons aller à notre retour de voyage. Encore une magnifique rencontre avec de très belles personnes.
Dimanche 12 juillet, réveil sous un beau soleil. J’en profite pour écrire un peu ce matin, car j’ai vraiment du mal à tenir le rythme et à écrire tous les soirs mon carnet de bord. Or, on vit des journées tellement nourrissantes et intenses à tout point de vue que je n’ai pas envie d’accumuler du retard et d’oublier de précieux détails. Pendant ce temps-là, je savoure la chance que j’ai d’avoir l’homme que j’aime à mes côtés, toujours compréhensif et super efficace pour le démontage de la tente et le rangement des fontes… On arrive à Namur aujourd’hui, en passant par Wépion et en rejoignant le RAVeL le long de l’eau. Sous le soleil et avec Arthus qui pédale tout seul ! Quel beau spectacle 😊. Et un peu d’émotions aussi en ce qui me concerne. Après 12 jours, c’est une étape de notre itinéraire qui est franchie, et on n’aurait pas pu rêver de plus beau commencement que celui que nous avons eu 😊. On se décide à aller tout de suite déposer nos affaires chez Paul, qui nous accueille ce soir sur les hauteurs de Namur. Il faut le mériter pour arriver là-haut, mais nos efforts sont tellement récompensés. La vue est superbe et l’endroit magnifique. J’y retrouve Alexis, mon ancien maître de stage au barreau et un bon ami de Paul. C’est trop gai, toutes ces retrouvailles et ces moments de discussion avec des amis qui nous sont chers. Nous n’avions pas encore mangé le midi (on doit bien avouer que nos repas de midi sont parfois un peu pauvres, en fonction du pain trouvé la veille ou le matin même et ce qu’il reste à mettre dessus). Ici, on se fait servir une délicieuse pizza cuite au four à pain de la maison. Un régal (c’est fou comme après du vélo, tout a un goût divinement bon). Nous devions aller visiter la citadelle de Namur mais face à l’insistance des enfants qui rêvent de plonger dans la piscine, nous ne résistons pas longtemps. Et que ça fait du bien, sous ce grand soleil 😊. La grande nouveauté, c’est qu’Arthus nage à présent tout seul avec ses bouées, et Emile aussi (qui fait tout comme son frère, et qu’on doit donc bien surveiller au risque qu’il saute dans l’eau sans bouées lui). L’après-midi se termine parfaitement par une délicieuse glace au glacetronome, dans le centre de Namur, et un souper avec toute la famille de Val, venue dire bonjour et récupérer Rosa en même temps.
Le lendemain, on démarre à l’aise pour suivre le RAVeL le long de la Meuse, splendide même si à certains endroits, c’est très étroit (et donc légèrement stressant pour moi qui surveille quand même bien Arthus qui pédale seul mais qui est vite distrait par une péniche ou un lézard qui passe sous sa roue 😉). Nous arrivons sur l’heure du midi à Namèche chez Elvira, une toute bonne amie de Val qui vient d’emménager là-bas. Quel plaisir de se retrouver. Et à nouveau, nous sommes incroyablement gâtés car elle nous a même cuisiné des bonnes pâtes pour ce midi ! Arthus et Emile se sont pris d’une nouvelle passion, outre les piscines et points d’eau, à savoir collectionner les pierres (et plus elles sont grosses, mieux c’est… et plus papa en bave sur le vélo 😊). Nous poursuivons ensuite jusqu’à Thon-Samson où le Camp Jules César se mérite après une belle côte en zig zag. Les Van Oost nous accueillent dans leur incroyable endroit, et Arthus et Emile deviennent vite copains avec Malo et Titouan (il leur faut un peu plus de temps pour adopter le chien et les chevaux qui se promènent librement… on doit bien avouer que nous n’avons pas des enfants qui sont vite à l’aise avec les animaux… mais ce voyage peut aider à changer cela 😉). C’est très gai d’avoir ainsi une bonne partie de l’après-midi de libre pour laisser les enfants jouer (dans le bac à sable, sur les tracteurs, dans la salle de jeux qui regorge de 1001 merveilles,…). La cerise sur le gâteau, c’est assurément le fait que Marine et Simon nous prêtent leur magnifique cabane pour la nuit (www.k-hutte.be pour découvrir la magnifique petite entreprise de Simon qui réalise des merveilles). C’est la folie et c’est rigolo de penser qu’au même moment, eux sont dans notre maison à Wezembeek 😉. Après un souper très sympa avec toute la famille Van Oost, les garçons vont se coucher, les cheveux pleins de sable et noirs de crasse… et tellement heureux ! De plus en plus, je sais que c’est la vie que je veux leur offrir, une vie au grand air, proche de la nature et des animaux 😊.
Mardi 14 juillet, il y a encore tant à faire et à voir à Thon que nous partons vraiment tard aujourd’hui puisqu’il est déjà 13h. Et ce sera la journée la plus difficile de ce premier mois. D’abord, parce qu’il fait vraiment moche. Ensuite, parce que nous avons calculé un nouvel itinéraire sur base d’une autre application suite à un changement de programme et que celui-ci ne fait que nous emmener dans des chemins VTT aux sentiers pas du tout adaptés pour nos vélos de voyage chargés et aux dénivelés très importants. Arthus a d’ailleurs bien vite compris que j’étais incapable de répondre à la moindre de ses questions pendant une bonne partie de la journée tant le souffle me manquait. Du côté de l’anecdote, il y a eu une rencontre avec un taureau, sorti de son pré, qui était en travers de notre petit chemin. Je n’étais vraiment pas à l’aise de le frôler avec nos vélos, et j’ai donc traversé par le pré d’à coté avec les deux garçons (dans lequel il n’y avait que des chevaux) pendant que Vince passait avec chacun des deux vélos (et il m’a quand même avoué qu’il n’avait pas été très rassuré non plus). Les points qui ont adouci et embelli cette journée furent sans aucun doute le dîner dans le garage de Lise et Nico à Mozet, pour nous abriter de la pluie et agrémenter notre pic nic 😊. Et l’arrivée à l’habitat groupé de la ferme de Lizée, après encore un dernier détour de 6 km durant lequel Val s’est arrêtée et a décrété qu’elle en avait vraiment marre et n’irait pas plus loin (ce qui était faux évidemment, puisqu’il fallait avancer) où nous avons été accueillis par Boris et Jenny et leurs deux adorables enfants. Nous avons été très impressionnés par l’immense travail abattu en deux ans sur ce projet de rénovation d’une grande ferme en carré, réalisé par les habitants des lieux (même pour les travaux les plus conséquents). Le spaget bolo préparé par leurs soins ne m’a jamais paru aussi bon, et leur invitation à venir dormir chez eux avec ce temps vraiment mauvais, jamais autant apprécié. Les garçons ont même pu prendre un bain avec plein de jeux d’eau, ce qui leur a assurément suffi pour passer une excellente journée (et nous aussi, en fin de compte 😊).
Merci pour ces récits et aussi tous les bons petits plans dedans 🙂 Vous êtes magnifiques!
Merci Marie, c’est un vrai bonheur pour nous de partager ce que nous vivons et d’échanger avec vous sur toutes les beautés de ce monde 🙂
Bravo pour cette aventure palpitante de cette découverte de notre beau pays et de ses citoyens si inventifs.
Ravis de partager cela avec vous, Babboe 🙂
Bravo à vous 4 et merci de nous faire partager votre très belle aventure!
Bisous à vous 2 et gros calinoux à vos 2 loulous!!! 🥰😉😘
Avec grand plaisir, très chère Bernadette 🙂 Toujours là, tu es vraiment extra! On vous embrasse bien fort aussi!
Super sympa de lire toutes vos aventures et rencontres. Je vois avec joie que le tiny house movement bat son plein en Belgique. La seule chose que je me demande est évidemment le problème du climat. Comme il pleut beaucoup en Belgique je me dis qu’avec des petits cela ne doit pas être facile de vivre dans quelques m2. Vos photos sont magnifiques et nous font vivre l’aventure de manière encore plus réelle. Thanks for sharing ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Avec grand plaisir Nanou 😉 C’est magique de continuer à pouvoir échanger sur nos vies et nos aventures, même séparés d’un océan 😉 On vous embrasse tous bien fort là-bas <3